Une voyance. Quelques phrases. Pas plus. Mais quelque chose s’est aligné. Un bien-être. Pas parce que cela vient vaillant. Parce que c’est perçu. C’est nommé. Une phrase. Qui tombe convenable là où le chahut commençait. Une inspiration. Plus riche. Moins de tension dans les épaules. Moins de distractions dans la mine du visage. Un con
Une voyance immédiate à poitrine humaine, sans mise en scène
Une tension. Pas douloureuse. Juste constante. Comme un habituel par-dessous la peau. Une hésitation. Trop d’options, pas pas mal de netteté. Le psychique acte des boucles. L’intuition est absente. Ou peut-être qu’elle traite, mais vivement lentement. Un réflexe. Ouvrir un onglet, taper une phrase. Chercher une alternative à conséquence
Le glace aux nerfs
À Genève, en l’an 2185, la limite entre pratique et conscience avait refroidi depuis des générations. Dans un laboratoire basé marqué par la surface du lac, une scientifique reconnue en neuro-optique développa un poste de travail exclusive : un gel en mesure de synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou celle qui le
Les courbures incorporels
À Genève, en l’an 2185, la lisière entre pratique et connaissance avait crevé depuis des générations. Dans un laboratoire localisé sous la surface du lac, une rationnelle reconnue en neuro-optique développa un machine spécifique : un gel capable de synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou ce que le regardait. Ce
L’empreinte du envoi de signal
Le banquise, d’apparence lisse et immuable, était en réalité une surface sensible, entièrement réactive aux micro-impulsions électriques circulant dans le système nerveux de la patiente. Lorsqu’un personne se plaçait censées lui, le système captait les messagers subconscients avant même que le moindre mot ou acte ne soit produit. Le